Adhérer à l'APSES, c'est aussi avoir accès à des ressources mutualisées
Paris, le 27 janvier 2023 Face à l’obstination idéologique du ministère de maintenir coûte que coûte des épreuves « finales » du baccalauréat au mois de mars, plus de 200 personnes se sont rassemblées rue du Bac à Paris ce mercredi 25 janvier. A l’appel de la Conférence des associations de spécialistes, et avec le soutien de […]
A Paris, le 27 janvier 2023 Le bac en mars : un recul pour les acquis des élèves de lycée général et leur préparation à l’enseignement supérieur Monsieur le Ministre de l’Éducation Nationale, Madame la Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Depuis 3 ans, la réforme du lycée et du baccalauréat, initiée en 2019 […]
Paris, le 18 janvier 2023 Malgré les alertes répétées de la communauté éducative, depuis bientôt 3 ans, le Ministère s’entête : les épreuves « finales » de spécialité du baccalauréat sont programmées du 20 au 22 mars 2023, bien avant la fin de l’année scolaire. Pour évaluer les effets de ce calendrier, l’APSES a mené une enquête sur […]
A l’appel des associations de la conférence des associations de spécialiste de l’enseignement secondaire, et avec le soutien de nombreux syndicats, un rassemblement est organisé mercredi 25 janvier après-midi, à 15h30 métro rue du Bac à Paris. L’objectif est d’obtenir le report des épreuves de spécialité du baccalauréat de mars à juin. Voici le texte […]
Paris, le 9 janvier 2023 L’APSES a mené une enquête auprès des enseignant·es de SES pour évaluer les effets de la réforme du lycée, trois ans après sa mise en place. Près de 700 enseignant·es de SES, soit environ 15% des collègues, issu·es de 527 établissements différents, y ont répondu entre octobre et novembre 2022. […]
Paris, le 27 janvier 2023 Face à l’obstination idéologique du ministère de maintenir coûte que coûte des épreuves « finales » du baccalauréat au mois de mars, plus de 200 personnes se sont rassemblées rue du Bac à Paris ce mercredi 25 janvier. A l’appel de la Conférence des associations de spécialistes, et avec le soutien de […]
Absentes du collège et des enseignements obligatoires en première et terminale, les SES sont intégrées au tronc commun de seconde générale et technologique, mais avec un horaire hebdomadaire limité à 1h30.
L’APSES demande prioritairement des conditions revalorisées pour les SES en seconde : volume horaire accru, dédoublements dans toutes les classes. Les dédoublements doivent être définis nationalement afin d’éviter les inégalités de conditions d’apprentissage des élèves selon les établissements et la concurrence entre les disciplines.
L’enjeu est ainsi de permettre aux élèves, au moins un an dans leur scolarité, d’avoir le temps nécessaire pour se confronter aux savoirs et aux méthodes des sciences sociales, et ainsi commencer à s’approprier la culture économique et sociale indispensable aux citoyens du XXIème siècle.
Les nouveaux programmes ont été vivement critiqués par leur caractère encyclopédique, et par le recul du pluralisme et des débats. L’APSES demande une refonte des programmes, qui doivent être structurés autour d’objets d’études, traités à l’aide de savoirs pluridisciplinaires en sciences sociales et à partir d’un nombre limité de problématiques explicites.
Ils doivent également permettre, par leur faisabilité en termes d’horaire, la diversité des pratiques pédagogiques et didactiques, et respecter la pluralité des approches épistémologiques et théoriques, dans le respect du principe de liberté pédagogique des enseignant-e-s.
Les épreuves doivent être repensées afin d’éviter la restitution pure de connaissances et favoriser la problématisation, la mobilisation de documents au service d’une argumentation, et l’exercice de l’esprit critique par la confrontation d’arguments.
L’APSES reste très attachée à une organisation en séries dans la voie générale.
Les SES doivent être l’enseignement pivot d’une série cohérente avec des complémentarités fortes entre le programme de SES et ceux des autres disciplines de la série.
Dans le cadre de la réforme du lycée, l’APSES considère qu’aucune barrière ne doit être opposée aux élèves choisissant les SES. Elle dénonce l’absurdité de l’abandon d’une des trois spécialités en cours de formation.
L’APSES demande qu’en première et terminale, les SES bénéficient a minima d’1 heure de dédoublement définie nationalement, et dans chaque classe d’au moins une heure d’AP. En classe de première, elles doivent bénéficier de 5 heures par semaine minimum.
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Ces dates sont susceptibles d’être modifiées en fonction de la situation sanitaire
Comités directeurs
9 octobre 2022 à Paris
28 janvier 2023 à Paris
26 mars 2023 à Paris
Stage national de formation
26 et 27 janvier 2023 à Paris
Thème : « Droit et justice »
Assemblée générale 2023
10 et 11 juin 2023 (région parisienne - lieu à définir)